Le contrôleur interne, le seul intervenant, qui vous permets de déployer une démarche qualité pour vos clients et vos processus interne

Chez SQA, nous sommes persuadés de l’importance du contrôle interne en entreprise, mais comment le prouver ?

 

  1. Le contrôleur interne évite les erreurs qui coûtent cher

Dans certains métiers règlementés, l’équation est simple : sans preuve d’un dispositif de contrôle interne, l’entreprise perd son autorisation de pratiquer. C’est le cas pour les établissements bancaires ou les assurances par exemple.

Mais, ce qui est plus difficile à valoriser, ce sont tous ces risques fréquents, avec de faibles conséquences qui, mis bout-à-bout, contrarient les objectifs et nuisent aux résultats de l’activité. Petites erreurs humaines, blocages informatiques, non-respect des procédures, habitudes anciennes etc.

Plus le contrôle interne est efficace et moins nous en voyons le résultat. En effet, grâce au système de contrôle interne, les risques se produisent moins (la probabilité baisse), ou les conséquences s’ils se produisent sont moins graves (l’impact baisse). Or, si les risques n’apparaissent pas ou peu et que leur impact est insignifiant, il est tentant de faire le raccourci suivant : « le contrôle interne ne sert à rien ! »

Oui, le contrôleur interne crée de la valeur !

 

 

Le contrôleur interne est le spécialiste des risques. Il les traque et les débusque, cherche à les anticiper et surtout à les limiter. Ses recommandations sont indispensables pour éviter l’accumulation de petites erreurs ou de temps perdu qui, à la longue, contrarient les objectifs et nuisent aux résultats de l’activité.

Prenons le cas d’une entreprise qui, en raison d’une erreur comptable, verserait un double salaire à ses collaborateurs. L’incident pourrait ne survenir qu’une fois tous les cinq ans, il suffirait à provoquer une perte conséquente. Tout d’abord, parce qu’il faudrait des mois avant de pouvoir récupérer le trop versé. Ensuite, parce que la crise occasionnerait des réunions multiples et l’envoi d’innombrables e-mails d’explications. Le suivi des remboursements mobiliserait un collaborateur à raison de 7 heures par semaine, pendant 2 mois environ. Sans compter l’impact négatif sur l’image de marque, qui nécessiterait le recours aux services d’une agence de communication.

En tout, le préjudice pourrait bien s’élever à une dizaine de milliers d’euros. Pourtant, en proposant un dispositif de vérification des salaires avant leur mise au paiement, le contrôleur interne serait en mesure de réduire non seulement la probabilité qu’un tel dysfonctionnement survienne, mais également son impact financier. Déduction faite du coût de son intervention et des moyens correctifs employés, le bénéfice net pour l’entreprise resterait indiscutable.

 

En résumé, même si les économies réalisées grâce au contrôleur interne peuvent sembler minimes – quelques centaines d’euros ici, quelques milliers là – il faut garder à l’esprit l’image globale. En général, nous identifions chez nos clients au moins une cinquantaine de risques. Faites le calcul ! Cela représente au minimum des centaines de milliers d’euros de revenus que le contrôle interne permet de préserver.